Maintenant, transformons l’essai !
Chère amie, cher Compagnon,
Vous le savez, le résultat des élections régionales en Ile-de-France est très positif pour notre mouvement. Dans des conditions difficiles et malgré une abstention massive, nous avons recueilli près de 4,2% des voix, ce qui nous place devant le MoDem de François Bayrou et loin devant le NPA d’Olivier Besancenot.
Debout la République vient ainsi de prendre toute sa place dans le débat politique.
Nous voici à présent à l’aube d’une nouvelle bataille électorale, celle des élections cantonales, qui auront lieu en mars 2011.
Pour transformer l’essai des régionales, nous devons être capables de présenter des candidats dans toute la France, lors de ce scrutin important pour la vie de notre pays. C’est en effet le moyen pour nous d’obtenir des élus locaux qui pourront œuvrer au service de cette certaine idée de la France que nous défendons.
Nous pouvons y parvenir : nous venons d’acquérir une notoriété importante, notre projet politique est solide, de nombreux Français nous rejoignent comme adhérent ou militant…
Mais pour envisager sereinement cette échéance, il nous manque aujourd’hui la capacité financière.
La campagne qui vient d’avoir lieu nous coûte cher car nous ne bénéficions pas des remboursements de l’Etat et ne pouvons compter que sur nos propres forces. Grâce à l’apport des 225 candidats et de nombreux militants et sympathisants, nous avons déjà payé les trois quarts du coût global nécessaire. Il reste à présent à régler au plus vite environ 100.000 euros et à préparer l’avenir.
C’est tout à fait faisable si chacun d’entre vous accepte de nous aider avec un don financier selon ses moyens. Je vous rappelle que compte tenu de la réduction d’impôt de 66% à laquelle un don donne droit :
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un chèque de 60 euros vous coûte en réalité 20 euros ;
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un chèque de 100 euros vous coûte 33 euros ;
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un chèque de 1.000 euros vous coûte 333 euros, etc.
Je remercie toutes celles et tous ceux qui ont déjà participé à cet effort.
Pour tous les autres, je compte sur vous car c’est maintenant que j’ai besoin de vous.
Très fidèlement.
Nicolas Dupont-Aignan